dors
ma petite mère,
ton flambeau
ne s'est pas éteint,
entre les cieux
et la terre
je le vois
-quelle splendeur !-
bien au-delà
des yeux
Et surtout
ne crains pas
d'aller toujours
plus loin
sans détours
dans ce profond sommeil
jusqu'au bout
de la mort,
son cœur
est là
-quelle chaleur !-
si parfait,
il n'y a rien
de mieux
Et à jamais
il veille
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire