Mon ami
-proche ou lointain-
je ne sais pas
ce que tu vis.
Alors je voudrais que se taisent
les mots qui chantent
-si jolis-
ces mots que l'on a mis à prix
-celui-là, non !
celui-là, oui !-
pour entendre ce que tu dis.
Mon ami
tu es là
seul avec ta peine
-l'ignorance est bien pire que la haine-
 je voudrais que les mots l'apaisent
ces mots du coeur
ces mots de rien
C'est pour cela
que j'écris. 
Merci
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