tu plies sous le joug
d'une folle raison
Quand
au lieu chéri de l'espérance
vient l'angoisse
Quand
la danse irisée
des éléments se glace
Dieu est impuissant
Tu mets 
ton coeur 
au réfrigérateur
et le soleil ne peut 
le réchauffer
Tu caches
ta douleur
derrière le mur de l'inhabité
et l'ami ne peut
tenir ta main
Tu ranges
l'inattendu
dans le tiroir de ton vécu
et la lampe d'un autre savoir ne peut
le révéler
Car la divinité n'est pas un miroir
Elle est 
dans ce que nul encore
ne connaît
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